Actualités de la paroisse

LA messe de rentrée paroissiale aura lieu le dimanche 13 septembre prochain. Réservez dès à présent cette journée ! [Messe à 10h30, barbecue sur le parvis, animations musicales, jeux pour les enfants, stands…]

Après la messe, nous nous retrouverons sur le parvis pour une fête paroissiale, ouverte à tous, qui nous permettra d’accueillir les nouveaux arrivants et de faire découvrir les activités paroissiales à tous !

lire ou relire l’audience générale du Pape François donnée le 28 janvier dernier (disponible au fond de l’église)

PAPE FRANÇOIS

AUDIENCE GÉNÉRALE – Salle Paul VI – Mercredi 28 janvier 2015


Chers frères et sœurs, bonjour!

Nous reprenons le chemin des catéchèses sur la famille. Aujourd’hui, nous nous laissons guider par le mot «père». Un mot plus que tout autre cher à nous chrétiens, parce que c’est le nom par lequel Jésus nous a enseigné à appeler Dieu : père. Le sens de ce nom a acquis une nouvelle profondeur précisément à partir de la façon dont Jésus l’utilisait pour s’adresser à Dieu et manifester sa relation particulière avec Lui. Le mystère béni de l’intimité de Dieu, Père, Fils et Esprit, révélé par Jésus, est le cœur de notre foi chrétienne.

«Père» est un mot connu de tous, un mot universel. Il indique une relation fondamentale dont la réalité est aussi antique que l’histoire de l’homme. Aujourd’hui, toutefois, on est arrivé à affirmer que notre société serait une «société sans pères». En d’autres termes, en particulier dans la culture occidentale, la figure du père serait symboliquement absente, disparue, éliminée. Dans un premier temps, cela a été perçu comme une libération: libération du père autoritaire, du père comme représentant de la loi qui s’impose de l’extérieur, du père comme censeur du bonheur de ses enfants et obstacle à l’émancipation et à l’autonomie des jeunes. Parfois, dans certains foyers régnait autrefois l’autoritarisme, dans certains cas même l’abus: des parents qui traitaient leurs enfants comme des domestiques, en ne respectant pas les exigences personnelles de leur croissance; des pères qui ne les aidaient pas à entreprendre leur chemin avec liberté — mais il n’est pas facile d’éduquer un enfant dans la liberté —; des pères qui ne les aidaient pas à assumer leurs propres responsabilités pour construire leur avenir et celui de la société.

Cela est certainement une attitude qui n’est pas bonne; toutefois, comme c’est souvent le cas, on est passé d’un extrême à l’autre. Le problème de nos jours ne semble plus tant être la présence envahissante des pères que leur absence, leur disparition. Les pères sont parfois si concentrés sur eux-mêmes et sur leur propre travail et parfois sur leur propre réalisation individuelle qu’ils en oublient même la famille. Et ils laissent les enfants et les jeunes seuls. Déjà en tant qu’évêque de Buenos Aires, je percevais le sentiment d’être orphelin que vivent aujourd’hui les enfants; et souvent, je demandais aux pères s’ils jouaient avec leurs enfants, s’ils avaient le courage et l’amour de perdre du temps avec leurs enfants. Et la réponse était triste, dans la majorité des cas: «Mais, je ne peux pas, parce que j’ai beaucoup de travail…». Et le père était absent, éloigné de cet enfant qui grandissait, il ne jouait pas avec lui, non, il ne perdait pas de temps avec lui.

A présent, sur ce chemin commun de réflexion sur la famille, je voudrais dire à toutes les communautés chrétiennes que nous devons être plus attentifs: l’absence de la figure paternelle dans la vie des enfants et des jeunes provoque des lacunes et des blessures qui peuvent être également très graves. Et d’ailleurs, les déviances des enfants et des adolescents peuvent être en bonne partie expliquées par ce manque, par la carence d’exemples et de guides faisant autorité dans leur vie de chaque jour, par le manque de proximité, par le manque d’amour de la part des pères. Le sentiment d’être orphelin que vivent tant de jeunes est plus profond que ce que nous pensons.

Ils sont orphelins en famille, parce que les papas sont souvent absents, même physiquement, de chez eux, mais surtout parce que, lorsqu’ils sont là, ils ne se comportent pas en pères, ils ne dialoguent pas avec leurs enfants, ils ne remplissent pas leur rôle éducatif, ils ne donnent pas à leurs enfants, à travers leur exemple accompagné par les paroles, les principes, les valeurs, les règles de vie dont ils ont besoin comme du pain. La qualité éducative de la présence paternelle est d’autant plus nécessaire lorsque le père est contraint par son travail d’être loin de chez lui. Parfois, il semble que les pères ne sachent pas bien quelle place occuper en famille et comment éduquer leurs enfants. Et alors, dans le doute, ils s’abstiennent, se retirent et négligent leurs responsabilités, en se réfugiant parfois dans un improbable rapport «d’égal à égal» avec leurs enfants. C’est vrai qu’il faut être «ami» de son enfant, mais sans oublier que l’on est le père! Si l’on se comporte seulement comme un ami qui est l’égal de l’enfant, cela ne fera pas de bien au jeune.

Et nous voyons aussi ce problème dans la communauté civile. La communauté civile avec ses institutions, a une certaine responsabilité — nous pouvons dire paternelle — envers les jeunes, une responsabilité qu’elle néglige parfois ou exerce mal. Elle aussi, souvent, les laisse orphelins et ne leur propose pas de véritable perspective. Les jeunes demeurent ainsi orphelins de voies sûres à parcourir, orphelins de maîtres auxquels se fier, orphelins d’idéaux qui réchauffent le cœur, orphelins de valeurs et d’espérances qui les soutiennent quotidiennement. Ils sont peut-être remplis d’idoles, mais on leur vole le cœur. Ils sont poussés à rêver de divertissements et de plaisirs, mais on ne leur donne pas de travail; ils sont trompés par le dieu argent, et on leur nie les véritables richesses.

Et alors, cela fera du bien à tous, aux pères et aux enfants, d’écouter à nouveau la promesse que Jésus a faite à ses disciples: «Je ne vous laisserai pas orphelins» (Jn 14, 18). C’est Lui, en effet, le Chemin à parcourir, le Maître à écouter, l’Espérance que le monde peut changer, que l’amour vainc la haine, qu’il peut y avoir un avenir de fraternité et de paix pour tous. Certains de vous pourront me dire: «Mais mon père, aujourd’hui, vous avez été trop négatif. Vous n’avez parlé que de l’absence des pères, de ce qui arrive lorsque les pères ne sont pas proches de leurs enfants… C’est vrai, j’ai voulu souligner cela, parce que mercredi prochain je poursuivrai cette catéchèse en mettant en lumière la beauté de la paternité. C’est pourquoi j’ai choisi de commencer de l’obscurité pour arriver à la lumière. Que le Seigneur nous aide à bien comprendre ces choses. Merci.


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Médecins et sage-femmes catholiques

Le service diocésain de la santé a besoin d’actualiser le listing des médecins catholiques et sage-femmes catholiques qui souhaiteraient être invités à la rencontre avec notre évêque le 2 avril 2016. Merci, dès maintenant, de les signaler ou leur demander d’envoyer un mail à sante@catholique78.fr. Contact : Bénédicte Bergeron – benedicte.bergeron@catholique78.fr – 01 30 97 67 88

SPECIAL FÊTE DES MÈRES : lire ou relire l’audience générale du Pape François donnée le 7 janvier dernier (disponible au fond de l’église)

REPAS PARTAGÉ DU SECOURS CATHOLIQUE

Ils se poursuivent tous les 3èmes samedis du mois à 12h30  dans les salles Ste Marthe  et Ste Marie-Madeleine (salles paroissiales attenantes à l’église paroissiale).

le prochain 19 septembre

Médaille de la famille

La médaille de la famille récompense les parents de famille nombreuse.

Qui est concerné ? Tout parent qui a élevé au moins 4 enfants de nationalité française, dont l’aîné a atteint l’âge de 16 ans.

Pour l’obtenir : se rendre à la mairie du domicile (ou au consulat, pour les familles résidant à l’étranger) pour la constitution du dossier.

IMPORTANT

Une paroisse est une famille, c’est aussi une maison. Dans une famille, nul ne peut être simplement consommateur. On a besoin de chacun.

Une maison, il faut en prendre soin. De nombreux petits services concrets sont encore à pourvoir malgré de multiples appels : ménage dans l’église, ouverture et fermeture de l’église, préparation matérielle des messes, sacristie…

D’autres services : les apéros de la paroisse, le catéchisme, l’aumônerie, l’accompagnement des familles en deuil… ont besoin de volontaires en raison des déménagements ou des changements de mission.

Merci de vous rendre disponible. Vous ne serez pas seul et vous serez formés.

Plus les volontaires sont nombreux, moins la charge de travail est lourde.

Merci à tous ceux et celles qui donnent déjà du temps. Merci  à ceux et celles qui les rejoindront.

Le curé

DENIER DE L’EGLISE

Vous êtes invités(e) à participer au Denier de l’Eglise.

Par les quêtes et vos dons, vous participez à la vie de la paroisse : ces dons nous aident de façon réelle à « boucler » le budget, et à lancer de nouveaux projets.

Le Denier de l’Eglise, c’est votre participation financière annuelle à la vie de l’Eglise dans les Yvelines. Il est utilisé principalement à faire vivre les prêtres, les séminaristes, rémunérer les laïcs, assumer les dépenses d’entretien, d’aménagement etc…

Il est juste que chacun se sente concerné. Tout catholique qui gagne sa vie doit ainsi soutenir, même modestement, la vie de l’Eglise et de son diocèse. Aujourd’hui, la moyenne d’âge des donateurs reste élevée. Beaucoup de jeunes couples ou de jeunes pros n’ont pas encore pris l’habitude de donner, ou ne se sentent pas concernés. C’est essentiel qu’ils prennent conscience que l’Eglise a besoin d’eux. L’important n’est pas tellement le montant de votre don, mais le principe de votre participation. Sachez que vous bénéficiez d’une réduction d’impôt de 66% de votre don. Ainsi, un don de 150 €, ne vous revient qu’à 51€.

Etablir le chèque à l’ordre de l’Association Diocésaine de Versailles 16 rue Monseigneur Gibier. ou faire un don en ligne à partir de www.catholique78.fr

RENFORCER L’EQUIPE de ceux et celles
qui ouvrent et ferment l’église paroissiale.

Afin que l’église puisse rester ouverte, plusieurs paroissiens se relaient le matin et le soir pour assurer ce service.

Nous sommes actuellement en sous-effectif suite à l’arrêt de certains et à l’absence ponctuelle d’autres… La secrétaire voudrait constituer une liste de personnes potentielles à qui elle pourrait s’adresser pour combler les manques, même ponctuellement.

Merci de vous faire connaître auprès de l’accueil paroissial ou du secrétariat : 01.30.45.00.25 /par.saint-cyr@wanadoo.fr

CATHO 78  n°7, journal diocésain d’informations, est arrivé. Consacré à la Vocation sacerdotale, il est à disposition au fond de l’église. Prenez-le pour vous et pour distribuer autour de vous !